Les confidences de Rhums de Ced’ pour Caveman

Impossible d’être passé à côté de leur succès amorcé il y a plus de 10 ans. Mais comment Cédric Brément et ses équipes en sont-ils arrivés là ? C’est à l’occasion d’un événement pour les cavistes que je me suis penché sur ce qui fait ces arrangés.

C’est en 2011 que cette marque de Loire-Atlantique, désormais incontournable dans l’univers des spiritueux, voit le jour. Bien du chemin a été depuis parcouru et il est dorénavant compliqué de ne pas trouver l’une des bouteilles au blason « Ti » chez leurs revendeurs. Ces derniers ont toujours été vus par l’artisan, que dis-je, le maître artisan, comme des partenaires personnifiants au travers de leurs conseils et de leur passion, des valeurs de l’entreprise : le partage et la convivialité. Afin d’alimenter ce lien, les Rhums de Ced’ organisent des événements réservés aux cavistes dans quelques grandes villes de France : les Ti Expériences.

J’ai eu la chance d’être de la fête à Paris, il y a quelques mois de ça. Laissez-moi vous mettre dans la confidence et en profiter pour vous en dire plus sur ces arrangés, pas si petits que ça.

Rendez-vous est pris à la Recyclerie, dans le nord de la capitale, pour une grosse matinée dédiée aux arrangés. Une fois sur place, je découvre l’équipe, dont certains membres récemment recrutés après les départs de Cédric Brément et de Jean-François Vigneron, l’ex-responsable de production.

Oui, il y a eu du mouvement à Saint-Hilaire-de-Chaléons (la bourgade où est installée l’entreprise) ces 2 dernières années. Je fais également connaissance avec des cadres de chez Dugas, distributeur depuis plusieurs années des Rhums de Ced’, et plus récemment propriétaire de la marque. Je vous ai dit qu’il y avait eu du mouvement !

Et bien sûr, je rencontre la vingtaine de responsables de caves d’Île-de-France conviés à l’événement…