in

The Nectar de Glenmorangie : quelques années de plus accentuent encore la douceur et augmentent la complexité

« Né de la découverte d’une pâtisserie française »

C’est du souvenir d’un dessert que Bill Lumsden a imaginé The Nectar. Ce single malt bénéficie d’un vieillissement dans d’ex-fûts de bourbon, puis dans des fûts ayant contenu des vins blancs moelleux (sauternes, Monbazillac, Moscatel et Tokaji). Voilà qui permet d’aller chercher beaucoup de gourmandise, de douceur et de richesse. 

Intense et complexe, il développe un bel éventail aromatique. Beurré, épicé, fruité (autant fruits à coque qu’agrumes), grillé, miellé, il joue sur une partition large, sans pour autant perdre de vue sa matière première. L’attaque est plus droite qu’escompté et c’est en le gardant en bouche – le pourcentage le permet – que les épices (dont la vanille), un boisé torréfié et chaud ainsi qu’un zeste de citron envahissent le palais. La finale, persistante, est tout à fait homogène avec la bouche. 

70 cl, 46% – Prix : 78 € 
Distribution : Moët Hennessy Diageo France 

Est-ce que cela vous a plu ?

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Loading…

0

Le Nar Dry Vermouth après le sweet, voici le dry 

Ti Arrangés de Ced’ Litchi Tangelolo : une seconde association entre litchi et agrumes